Jeu des 8 familles d'aujourd'hui - Jeux FK

Le jeu de 8 familles d’aujourd’hui renouvelle le genre.

« Dans la Famille Lupin-Vernon, je demande... la jeune fille.
– Je l’ai !
– Le père.
– Je l’ai aussi. Tiens !
– L’amie de la mère.
– Pioche !... A moi de jouer. Dans la Famille Robin, je voudrais... la fille du père.
– La voici !»
Il sont 2 (La mère, la fille), 3, 5, 6 voire 8 personnages d’une même famille, dans des situations différentes, toutes fidèles à la réalité !
Pour se repérer, on retrouve sur chaque carte le nom de tous les membres de la famille concernée.

Avant le 8 familles d’aujourd’hui, Jeux FK avait sorti plusieurs éditions de jeux de 7 familles traditionnels, dans des thématiques variées (Les vieux métiers, Les nouveaux métiers, Le cirque, Les mondes imaginaires... ). Le principe de ce jeu centenaire est excellent, développant la réflexion, la mémoire et l’intuition. Connaître les différents archétypes qui nous entourent permet de poser des repères et puis de développer ensuite sa propre personnalité.


Voici donc les 8 familles que l’on retrouve dans le jeu :

Une mère et sa fille.
Un père, son fils et sa fille.
Un père, une mère, et leurs trois enfants (dont deux possiblement adoptés).
Un père, une mère, leurs quatre enfants, ainsi que la fille du père.
Un père et sa nouvelle compagne, quatre enfants, une mère et son nouveau compagnon.
Un père et son nouveau compagnon, trois enfants, la mère et son compagnon, les enfants du compagnon de la mère.
Une mère et sa nouvelle compagne, deux filles, un père.
Un père et sa nouvelle compagne, deux enfants, une mère et son nouveau compagnon.
Les familles sont représentées sous forme de frise, et les enfants occupent toujours la place centrale.

C’est un vrai bonheur d’assister aux parties de cartes de ce jeu avec des enfants. Il s’agit de leur monde, leur entourage, parfois de leur propre quotidien, et rien ne semble les désarçonner. Quant aux parents qui s’y collent, si certains s’en amusent, d’autres concernés par une période parfois douloureuse de décomposition familiale puis à une recomposition, s’en trouvent comme soulagés, ou même... déculpabilisés. C’est en tout cas ce que j’ai pu observer.